L’engagement des salariés est un enjeu majeur pour les entreprises. Il est souvent mesuré par les indicateurs traditionnels, tels que l’absentéisme ou l’évaluation par les intéressés de leur bien-être au travail. Cependant, ces indicateurs ne sont pas vraiment appropriés.
Nous avions évoqué dans notre précédent article « Rationnel et Relationnel pour piloter dans l’incertitude » la notion de sens au quotidien. Dans cette série de trois articles nous précisons cette notion subtile de « sens » du travail et nous en élucidons les ramifications et l’effet sur la performance.
Nous avions évoqué dans notre précédent article « Rationnel et Relationnel pour piloter dans l’incertitude » la notion de sens au quotidien. Dans cette série de trois articles nous précisons cette notion subtile de « sens » du travail et nous en élucidons les ramifications et l’effet sur la performance.
Le taux de marge des entreprises françaises a augmenté en moyenne de 1,5 point au deuxième trimestre 2023, à 33,2 %. Cette hausse est due à la baisse du prix de l’énergie, à un rebond inattendu de la productivité et à la baisse concomitante des salaires réels.
Cependant, contrairement aux grands groupes, la marge des PME et ETI françaises a diminué de 0,8 points au premier trimestre 2023, à 28,6 %, son plus bas niveau depuis les années 1980. Cette baisse est due à la difficulté que rencontrent ces entreprises à répercuter intégralement la hausse de leurs coûts de production.
Nous montrerons dans cet article que pour redresser la situation, les PME-ETI doivent procéder à une revue de leurs activités, à une analyse de leur positionnement concurrentiel et à une amélioration de leurs pratiques de fixation des prix.
Rationnel ou Relationnel, que privilégier pour garantir la performance ?
Dans un article précédent, nous avons présenté l’importance d’une analyse rationnelle et chiffrée des composantes de la performance. C’est, en particulier une composante indispensable au “pilotage serré”. Seul celui-ci permet d’espérer traverser les périodes difficiles sans dommage.
Une performance pérenne exige cependant un engagement de tous qui dépasse la seule logique chiffrée. Cet article aborde le complément relationnel nécessaire au rationnel pour assurer cet engagement.
Le pilotage, activité majeure de tout dirigeant, exige une évaluation chiffrée des activités et des résultats.
Cependant l’approche rationnelle, absolument indispensable, s’avère insuffisante. Dans un environnement complexe et incertain il est nécessaire d’utiliser conjointement raison et émotions, ainsi que l’intuition résultant des deux premières.
Comment cet impératif se présente-t-il pour le dirigeant ?
Ce premier article aborde l’importance du rationnel. Un second article examinera son indispensable complément relationnel.
A l’heure du traditionnel « chassé-croisé » annuel, nous faisons le point sur la situation des PME-ETI, à travers les dernières enquêtes les plus intéressantes que nous avons pu consulter. Nous profitons de l’occasion pour livrer aussi un condensé de nos publications depuis le début de l’année.
Le cas client dont nous poursuivons la présentation dans le présent article illustre des difficultés couramment rencontrées chez les PME-ETI. L’insuffisante maîtrise de la boucle observation/mesure/anticipation/action provoque une perte d’efficience induite par l’envolée des encours, stocks et coûts salariaux. Celle-ci se traduit par une performance économique suboptimale.
Dans ce second volet consacré à la prévision de la demande, nous montrons comment les entreprises de taille moyenne peuvent être prises au dépourvu malgré la mise en place de coûteux systèmes de prévision. Peu armées en matière de science des données, elles s’en remettent à des consultants externes pour mettre au point des chaînes complexes liant la prévision à l’action opérationnelle. Ces chaînes, si elles ne tiennent pas suffisamment compte des particularités des données de ventes, induisent des réactions inadaptées aux aléas de la demande et entraînent des incohérences inter fonctions.
Dès lors, une boucle de pilotage, qui repose sur un processus intégré de prévision dans le cadre duquel les acteurs sont pleinement responsabilisés et engagés dans une interdépendance vertueuse est indispensable.
Confronter notre évaluation de la situation aux objectifs que nous nous fixons pour en tirer des décisions d’action, telle pourrait être une définition sommaire du pilotage. Comment traduire ce principe très général en un processus puissant, capable de s’adapter à des contextes notablement différents ?
Cet article en pose les éléments clés et les illustre à travers deux cas concrets concernant la Vente et la Qualité Produit.
Cet article présente le cas d’une entreprise de taille intermédiaire (ETI) fabriquant en volume pour le Grande Distribution. A travers cet exemple révélateur, nous illustrons la difficulté pour ces entreprises qui ne sont pas de grands groupes et qui de ce fait ne disposent pas en interne des qualifications nécessaires, de bénéficier de capacités de prévision performantes de la demande de leurs clients.